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Federal Court of Appeal

Cour d'appel fédérale

 

Date : 20110216

Dossier : A-464-09

Référence : 2011 CAF 60

 

CORAM :      LE JUGE SEXTON

                        LA JUGE LAYDEN-STEVENSON

                        LE JUGE STRATAS

 

ENTRE :

DAVID WHITE

appelant

et

 

SA MAJESTÉ LA REINE

intimée

 

 

 

Audience tenue à Toronto (Ontario), le 16 février 2011.

Jugement rendu à l'audience à Toronto (Ontario), le 16 février 2011.

 

MOTIFS DU JUGEMENT DE LA COUR :                            LA JUGE LAYDEN-STEVENSON

 


Federal Court of Appeal

Cour d'appel fédérale

 

Date : 20110216

Dossier : A-464-09

Référence : 2011 CAF 60

 

CORAM :      LE JUGE SEXTON

                        LA JUGE LAYDEN-STEVENSON

                        LE JUGE STRATAS

 

ENTRE :

DAVID WHITE

appelant

et

 

SA MAJESTÉ LA REINE

intimée

 

 

MOTIFS DU JUGEMENT DE LA COUR :

(Prononcés à l'audience à Toronto (Ontario), le 16 février 2011)

 

LA JUGE LAYDEN-STEVENSON

[1]               Il s’agit d’un appel d’une ordonnance du juge Paris de la Cour canadienne de l’impôt (le juge) rejetant la requête de l’appelant. Dans sa requête, l’appelant cherchait à obtenir une ordonnance faisant droit à ses appels et annulant les cotisations concernant l’impôt sur le revenu et la taxe sur les produits et services établies à son égard en tant que directeur de deux sociétés. Les sociétés n’ont pas versé les retenues à la source faites au titre de l’impôt sur le revenu entre 1992 et 2002. Elles ont cessé leurs activités en 2002.

 

[2]               Le juge a rejeté la requête pour plusieurs motifs. Après une analyse approfondie, il a conclu que les questions soulevées par l’appelant devaient être considérées en même temps que le fond de l’affaire.

 

[3]               L’appelant n’a souligné aucune erreur de droit ou de principe de la part du juge. Essentiellement, l’appelant essaie de faire réexaminer sa requête. Tel n'est pas le rôle d'une cour d'appel. En l’absence d’une erreur manifeste et dominante de la part du juge, ou d’une indication selon laquelle il a rendu sa décision sur la base de facteurs non pertinents ou qu’il n’a pas considéré les facteurs pertinents, notre Cour ne peut intervenir dans l’ordonnance discrétionnaire du juge. Rien de tel n’a été démontré en l’espèce.

 

[4]               Par conséquent, je rejetterais l'appel et j’adjugerais les dépens à l'intimée.

 

 

« Carolyn Layden-Stevenson »

j.c.a.

 

Traduction certifiée conforme

Jean-François Vincent

 


COUR D’APPEL FÉDÉRALE

 

AVOCATS INSCRITS AU DOSSIER

 

 

 

Dossier :                                                                            A-464-09

 

(APPEL INTERJETÉ À L’ENCONTRE D’UNE ORDONNANCE DU JUGE PARIS EN DATE DU 9 NOVEMBRE 2009, DANS LES DOSSIERS DE LA COUR CANADIENNE DE L’IMPÔT NOS 2007-1561(IT)G et 2007-1665(GST)G)

 

INTITULÉ :                                                                           DAVID WHITE

                                                                                                c.

                                                                                                SA MAJESTÉ LA REINE

 

LIEU DE L’AUDIENCE :                                                     TORONTO (ONTARIO)

 

DATE DE L'AUDIENCE :                                                    LE 16 FÉVRIER 2011

 

MOTIFS DU JUGEMENT

DE LA COUR :                                                                      LES JUGES SEXTON,

                                                                                                LAYDEN-STEVENSON et STRATAS

 

PRONONCÉS À L'AUDIENCE PAR :                               LA JUGE LAYDEN-STEVENSON

 

 

 

COMPARUTIONS :

 

David White

POUR L’APPELANT

(POUR SON PROPRE COMPTE)

 

Shatru Ghan

Sandra K.S. Tsui

POUR L’INTIMÉE

 

 

AVOCATS INSCRITS AU DOSSIER 

 

S/O

POUR L’APPELANT

(POUR SON PROPRE COMPTE)

 

Myles J. Kirvan

Sous-procureur général du Canada

POUR L’INTIMÉE

 

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